Économisez le voyage à San Francisco.
Les palmiers, c’est surfait.
Fut un temps où qui voulait une app bien gaulée passait
nécessairement par la case Californie, la mère patrie de l’UX.
Une ère révolue, pour le plus grand plaisir des start-ups et des compatriotes qui parlent mal anglais.
Les product designers français sont en train de se faire une petite réputation…
Retrouvons-nous à Toulouse, on prendra notre avocado toast au Capitole si vous le voulez bien.
Bio
J’aide les grands groupes à se rapprocher de
leurs utilisateurs depuis plusieurs années.
Convaincue que les choses doivent recommencer à plus petite échelle pour que la planète tourne rond, j’accompagne des équipes qui ont une mission claire, et souvent plus concrète, en freelance.
comme les supers gars de Meerabel ou encore Masherbrum .
Je suis aussi formatrice. Voir les programmes.
Avec qui je bosse ?
Des grands comptes, des entreprises à taille humaine et des start-ups
en Europe, au Canada et aux US.
Mon motto.
“Près du pouce, près du coeur”
On dit qu’il faut choisir entre un bon UX et un bon UI.
Je suis de cette nouvelle génération qui ne sépare pas les deux.
Si on veut créer de l’attachement, il faut être beau mais avant tout très ergo.
Manifeste
1. Devançons les standards
Il revient à la nouvelle garde d’affiner les best practices tout en forgeant de nouveaux usages.
2. Soyons de bons parents
Les app chaotiques ont eu une genèse chaotique. Les app fluides une génèse fluide.
Voilà.
3. La communauté d’abord
On doit toujours pouvoir exprimer clairement “voici comment ce projet va améliorer le quotidien de ses usagers”.
Swipe vers la droite.
Clique.
Scroll.
Pause.
Re scroll.
Un bon DJ fait bouger les hanches,
un bon product designer fait bouger les pouces.
On me décrit comme
un col claudine avec de la poigne
La relève est prise, Margareth. J’aime la rigueur, rien ne vaut pour moi la beauté d’un angle parfait, et je vous le dirai franchement si vous faites fausse route. Toutefois, vous pourrez vite constater que je suis bien plus avenante que la dame de fer et qu’il m’arrive même d’arriver avec les croissants. Des vrais, avec du beurre dedans, qui font des miettes sur le sweat.